Finance & Gestion 416
Voyages d’affaires, vers une mobilité étendue
lundi, 30 septembre 2013 19:17 Écrit par Anne Del Pozo
Alors que l’usage par les particuliers des smartphones et des tablettes tend à se démocratiser, ces technologies entrent de plus en plus dans les entreprises et contribuent à créer de nouvelles attentes chez les collaborateurs en déplacement. Des besoins auxquels les prestataires du voyage d’affaires entendent répondre.
Si la démocratisation de l’usage des technologies de la mobilité pose encore certains problèmes, notamment de sécurité des données, elle confère cependant aux utilisateurs, comme aux entreprises, un certain nombre d’avantages. « D’un coup, avec les technologies mobiles, les salariés sont devenus très autonomes dans la réservation de leurs voyages d’affaires, explique Stanislas Berteloot, directeur marketing KDS. Désormais, ils ont la possibilité de réserver leur voyage depuis leur mobile d’où qu’ils soient, 24h/24 et ce, parfois à un meilleur coût ! ». Les prestataires du voyage, quels qu’ils soient (opérateurs de cartes, agences de voyages, plates-formes hôtelières, éditeurs, transporteurs…), l’ont d’ailleurs bien compris et travaillent tous à la déclinaison de leurs outils sur des terminaux mobiles. Les transporteurs aériens et ferroviaires proposent ainsi depuis maintenant quelques années, des outils de réservation sur mobiles, agrémentés pour la plupart de services additionnels tels que l’information en temps réel, personnalisée, voire en push sur l’état du trafic ou autres retards. Depuis, les services proposés par ces applications mobiles se sont largement élargis, que ce soit pour la réservation du voyage, les modifications à effectuer pendant le voyage ou la saisie des notes de frais en fin de déplacement.
Vers des flottes automobiles « Éco-responsables »
lundi, 30 septembre 2013 19:05 Écrit par Anne Del Pozo
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De plus en plus, les entreprises se posent la question de rendre progressivement leur flotte automobile « éco-responsable ». Différents leviers existent aujourd’hui pour les accompagner dans cette démarche dont l’objectif final est autant économique qu’environnemental.
Actuellement, nous assistons à une véritable prise de conscience des dirigeants d’entreprises et gestionnaires de flottes quant à la nécessité de rendre leur parc automobile plus éco-responsable. Ce sont d’abord les grandes entreprises telles que Orange notamment qui, à partir de 2007/2008, ont pris cet enjeu à bras-le-corps. Une démarche qui s’inscrivait alors en droite ligne du Grenelle de l’environnement et répondait davantage à leur volonté de communiquer sur leurs démarches en la matière. Néanmoins, à cette époque, l’offre de véhicules « verts », hybrides ou électriques, restait encore restreinte. Seuls deux constructeurs (Toyota et Honda) se positionnaient alors sur ce marché. « Depuis, des initiatives ont été mises en place par le gouvernement français et Bercy, pour inciter les entreprises à basculer progressivement vers des flottes plus vertes, explique Thomas Jobelot, responsable Ventes Sociétés chez Toyota France. Est ainsi né le bonus sur les véhicules propres, tandis que l’exemption de la taxe pour les véhicules qui émettent le moins de CO2 a davantage été mise en relief depuis le Grenelle de l’environnement ».
Courrier, colis, courrier de marketing direct : Les portails Internet, un atout de taille !
lundi, 30 septembre 2013 18:58 Écrit par Nadine Champenois
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Que ce soit pour envoyer des colis et courriers ou pour mener des opérations de marketing et de communication, les portails offrent des solutions à la fois souples et économiques. Une fois au fait de leur utilisation, ils s’avèrent procurer à l’entreprise un gain de temps considérable et proposent des solutions de qualité. Voici un tour d’horizon des solutions gagnantes – pour toutes les entreprises – que nous avons pour la plupart testées, en matière d’envoi de courriers, de colis… et leur fonctionnement.
Les clés pour optimiser les coûts du traitement des factures
lundi, 30 septembre 2013 08:48 Écrit par Anne Del Pozo
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En émission ou en réception, le traitement d’une facture a un coût. Sa dématérialisation est donc un enjeu de taille pour des raisons économiques mais également d’optimisation des processus de la chaîne order-to-cash.
La dématérialisation des factures est devenue un élément important de la stratégie de réduction des coûts des entreprises.
Au-delà de 50 factures par jour, en émission comme en réception, la dématérialisation présente en effet de nombreux avantages financiers. Arthur D.Little (cf. tableaux ci contre), s’est ainsi penché sur la question du coût des différentes étapes du traitement d'une facture reçue et émise. Lors de son étude, il établit la différence entre une facture papier et une facture dématérialisée. Il en conclut que le coût de traitement d'une facture dématérialisée est au moins divisé par trois.
Transfert des déficits subis par un holding sans activité économique*
lundi, 15 juillet 2013 00:00 Écrit par Nos contributeursTous les entrepreneurs n'ont pas bâti un organigramme qui place un holding sans activité économique au cœur d'un dispositif. Mais lorsque c'est le cas, attention ! Les transferts de déficit supposent un agrément de l'administration fiscale.
Conformément à l'article 209 II du Code Général des Impôts, en cas de fusion ou d'opération assimilée placée sous le régime de l'article 210A du même code, les déficits non encore déduits par la société absorbée ou transférée peuvent être transmis, après agrément de l'administration fiscale, à la société absorbante ou bénéficiaire des apports (le holding).
Les incidences prévisibles du projet de Loi HAMON
lundi, 15 juillet 2013 00:00 Écrit par Nos contributeursAprès la loi LME de 2008, les relations entre fournisseurs et distributeurs, vont devoir s'adapter à de nouvelles modifications législatives.
Abondamment commenté dans la presse économique, le projet de Loi Hamon, qui est actuellement en cours de discussion à l'Assemblée Nationale, comporte des mesures phares, comme la création d'une action de groupe pour la réparation des préjudices matériels, l'encadrement du crédit à la consommation, le renforcement des droits des consommateurs (lutte contre les clauses abusives, modalités de résiliation de contrats d'assurance, etc.).
Que ce soit pour des difficultés passagères ou structurelles ou, à l'inverse, pour financer la croissance, toute entreprise a besoin, à un moment ou à un autre, de disposer d'un découvert. Exposons ici les grands principes* à respecter pour négocier au mieux cette « facilité » avec son banquier.
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Dans le contexte économique actuel, externaliser une plus grande partie de ses activités peut devenir tentant. La quasi-totalité de ces dernières est désormais concernée, grâce aux évolutions technologiques et informatiques notamment.
Sous-traitance, externalisation et maintenant BPO - Business Process Outsourcing : qu'est-ce qui explique ces nouvelles tendances ? Si la sous-traitance ne date pas d'hier, plusieurs raisons motivent sa croissance.
Sur le plan financier d'abord et dans le contexte économique actuel, les prestataires proposent, du moins en théorie, des coûts de production moins élevés que les entreprises parce qu'ils restent spécialisés dans un seul domaine. Ce qui leur permet de mutualiser les coûts d'infrastructure et de ressources humaines au bénéfice de leurs clients. Toujours lié à des motivations financières, le recours à l'externalisation évite aussi d'embaucher directement et donc d'augmenter la masse salariale et les effectifs. Un argument auquel bon nombre d'entreprises sont sensibles aujourd'hui. La logique sous-jacente peut consister également à se recentrer sur son métier de base. Mais si l'actualité économique met ces arguments en exergue, elle ne suffit pas à expliquer la montée en puissance de ces pratiques.
Même sans les sub-primes, sans les Kerviel et autres Madoff… avec cette crise dont on ne voit pas le bout, le dirigeant de PME a aujourd'hui plus qu'hier toutes les raisons du monde de mettre en place une remontée d'informations pertinentes pour prendre les bonnes décisions, au bon moment. Alors, forcément, en ces temps économiques perturbés, le reporting apparaît comme l'arme de décision massive indispensable.
Les champs fonctionnels du reporting sont multiples. Ils dépassent largement le cadre strictement comptable. Tous les pôles de l'entreprise sont concernés : produit, commerce, données géolocales, activité export, etc. forment le reporting horizontal ; gestion, frais généraux, salaires ou charges appartiennent au reporting vertical.
Nouveaux challenges des acheteurs : acheter mieux pour acheter moins cher
lundi, 17 juin 2013 00:00 Écrit par Nadine Champenois
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Si l'on considère que 3 % d'économies sur les achats sont aussi rentables qu'une hausse de 10 % du chiffre d'affaires, et ce, sans dégrader la prestation, il est très judicieux de reconsidérer la stratégie achats sous un nouvel angle. D'autant qu'il existe aujourd'hui de nouveaux outils et de nouvelles pratiques permettant d'acheter mieux pour acheter moins... cher !
Durant ma carrière professionnelle, dédiée aux achats, j'ai observé que le levier achats hors production était plutôt sous utilisé, et c’est un tort ! », note Olivier Audino, fondateur et directeur de Buy Made Easy Consulting, une société spécialisée dans le conseil en expertise achats. « En effet, dans les entreprises industrielles, les achats représentent 50 % du chiffre d'affaires dont 20 % pour les achats hors production ou frais généraux. Soit près de deux fois plus que les dépenses en main d’œuvre. Si l'entreprise réduit de 5 % ses achats, elle gagne deux fois plus de points de marge qu'en diminuant de 5 % sa masse salariale. Elle peut donc ainsi rapidement augmenter sa marge sans aller chercher du chiffre d'affaires supplémentaire et surtout sans licencier », ajoute-t-il.