Finance & Gestion 416
Le voyage d’affaires, axe de développement stratégique pour les entreprises
lundi, 07 mai 2012 00:00 Écrit par Anne Del PozoConscientes de la nécessité des déplacements professionnels pour assurer leur développement, en France comme à l’international, les entreprises poursuivent leurs investissements en la matière. Pour que cet engagement financier reste en adéquation avec leur volonté de maîtrise des coûts, elles revoient néanmoins leur stratégie de gestion liée à l’organisation des voyages d’affaires. Une démarche dans laquelle les prestataires de la place les accompagnent en faisant évoluer les offres et les tarifs « affaires ».
Toutes les meilleures technologies du monde ne remplaceront pas les relations humaines ! C’est la raison pour laquelle le voyage d’affaires reste stratégique pour les entreprises, notamment dans le cadre des relations clients. « D’ailleurs, de plus en plus d’entreprises considèrent le voyage d’affaires comme un investissement, précise Stéphane Birochau, directeur grands comptes Carlson Wagonlit Travel.
Les loueurs de voitures simplifient l’accès aux véhicules
lundi, 07 mai 2012 00:00 Écrit par Anne Del PozoPour répondre au mieux aux attentes des voyageurs d’affaires, les loueurs de voitures jouent la carte de la proximité et accélèrent les procédures de prise et de rendu de véhicules.
Si le marché des loueurs de véhicules reste relativement stable depuis 2010, en revanche, les prestataires de la place notent une évolution dans les demandes des entreprises. « Les responsables de déplacements recherchent désormais des services qualitatifs en termes de flottes automobiles, de choix de véhicules, de rapidité de prise ou rendu de véhicule, de proximité des agences ou encore de visibilité sur leur facturation », explique Emmanuel Nedelec, directeur commercial et marketing Europcar France.
Les offices de tourisme étrangers, précieuse source d’information pour les entreprises
lundi, 07 mai 2012 00:00 Écrit par Anne Del PozoTous les offices du tourisme étrangers ont pour vocation de promouvoir une destination ou au pays. Certains vont néanmoins plus loin dans leurs démarches en proposant d’être un guichet unique entre l’entreprise et les prestataires locaux du tourisme d’affaires.
Si les offices du tourisme étrangers n’ont pas pour vocation de se substituer aux agences de voyages spécialisées dans les Meetings & Events, la plupart d’entre eux sont néanmoins, pour les entreprises, une précieuse source d’informations sur la destination convoitée. « Au-delà des traditionnelles informations sur notre destination, nous jouons, pour les entreprises, un rôle de conseil, précise Annabelle Barro, responsable marketing et communication de l’office du tourisme du Kenya à Paris. Nous présentons ainsi les différents types de structures hôtelières du pays et les évènements qu’il est possible d’organiser au Kenya ».
Les transporteurs multiplient les initiatives en faveur des voyageurs d’affaires
lundi, 07 mai 2012 00:00 Écrit par Anne Del PozoSur un marché devenu fortement concurrentiel, les transporteurs jouent la carte du service pour séduire les voyageurs d’affaires.
Le marché des transporteurs pour les voyageurs d’affaires ne cesse d’évoluer notamment sous l’emprise du développement de la concurrence entre les compagnies aériennes traditionnelles, les low cost et le ferroviaire. Une concurrence qui va d’ailleurs s’élargir avec la mise en place à venir d’un réseau ferroviaire transeuropéen à grande vitesse. Dans ce contexte fortement concurrentiel, la demande des entreprises en matière de transports ne cesse de se développer. Ainsi, l’Association du Transport Aérien International (IATA) a révélé que la demande dans le secteur « passagers » a augmenté de 5.9 % sur l’ensemble de l’année 2011, par rapport à 2010.
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Alors que les prix de l’hôtellerie repartent à la hausse, les prestataires de la place développent leurs services à destination des voyageurs d’affaires.
Sur le marché de l’hôtellerie, les prestataires ont actuellement peu de visibilité sur les tendances à venir, car les semaines d’activité sont inconstantes, les engagements des entreprises peu lisibles et enfin les tarifs proposés par les hôteliers changent régulièrement. Néanmoins certains grands groupes tels qu’Accor continuent d’enregistrer des résultats satisfaisants. « Depuis le début de l’année, nos résultats relatifs à l’hôtellerie d’affaires sont plutôt bons, notamment sur certaines destinations : notre activité au-delà de l’Europe (Brésil, Australie), est ainsi assez soutenue », explique Ludovic Dupont , VP Distribution Travel Agencies / Meetings & Events, Groupe Accor. Les résidences hôtelières urbaines, à l’instar d’Adagio City Aparthotel ou encore les Citadines continuent également de se développer. Sur ce marché, l’offre s’est ainsi étoffée de +40 % en 4 ans (Deloitte Conseil 2011). Ces résidences apportent en effet une réponse adaptée aux moyens et longs séjours, notamment en matière de prix. D’autant qu’après avoir enregistré une stagnation en 2010, les prix de l’hôtellerie traditionnelle sont repartis à la hausse dès le 1er semestre 2011. Une tendance qui ne s’infléchit pas en ce début d’année 2012.
Vers une structuration des dépenses liées au tourisme d’affaires
lundi, 07 mai 2012 00:00 Écrit par Anne Del PozoAlors que le contexte économique reste difficile et incertain, les entreprises continuent de rogner sur les réunions professionnelles pour réduire les frais. Si les dépenses moyennes par participant sont remontées en 2011, cela s’est néanmoins accompagné d’une meilleure structuration de l’organisation et des dépenses liées à ce poste.
Comme les entreprises restent soucieuses des coûts et ont également un besoin croissant de réunions, les professionnels du MICE (Meetings & Events) cherchent de nouvelles façons d’optimiser les dépenses tout en assurant l’efficacité de ces évènements.
Pour financer leurs besoins en fonds de roulement ou tout simplement préserver leurs capacités de crédits auprès des organismes bancaires, les entreprises disposent de différents leviers à activer en fonction de leurs profils, de leur activités, de leurs tailles ou encore de leurs projets de développement.
Alors que les banques tendent à resserrer l’accès au crédit et durcissent leurs conditions de financements, les entreprises disposent de différents leviers alternatifs pour améliorer leurs besoins en fonds de roulement (BFR) et préserver leur trésorerie. Les principaux constituants du besoin en fonds de roulement d’une entreprise sont le poste clients, les stocks et le poste fournisseurs. « Pour optimiser leur BFR, les entreprises ont en effet la possibilité d’activer un ou plusieurs des trois leviers qui le constituent : le poste client, les stocks et le poste fournisseurs », souligne Patrice Coulon, directeur général délégué de GE Capital.
Business Process Outsourcing : une vision élargie de l'externalisation
lundi, 05 mars 2012 00:00 Écrit par Laurent LocurcioAvec une belle régularité, le marché du BPO – Business Process Outsourcing – continue de progresser. Et si les pays anglo-saxons sont depuis longtemps convaincus des avantages concurrentiels de cette pratique, les entreprises françaises s'y intéressent de plus en plus.
Actuellement, ce sont les services liés à la gestion des clients, aux ressources humaines, aux finances ou encore à la comptabilité qui restent très demandés. Le BPO est en effet l'étape la plus avancée de l'externalisation, puisqu'il s'agit de confier à un prestataire spécialisé un ou plusieurs processus métiers de l'entreprise. En substance, il est possible ainsi d'externaliser les moyens de paiement et recouvrement, le SAV, les actions marketing et CRM, la logistique, les services généraux, les prises de commandes, le flux de données physiques et numériques, le tri de documents et courriers ou encore la GED. En confiant ce type d'activités, l'entreprise peut concentrer ses moyens sur son coeur de métier, en s'assurant de rester technologiquement performante dans tous les processus.
Faut-il avoir un nouveau regard sur la fonction « achats » ?
lundi, 05 mars 2012 00:00 Écrit par Philippe DermagneTout dirigeant sait que la contribution des achats à la compétitivité de son entreprise est importante, voire stratégique. Aujourd’hui, un directeur des achats doit avoir une vision globale des objectifs de l'entreprise, en intégrant pleinement l’ensemble de son écosystème. L’évolution de ce métier impose-t-elle un nouveau regard ? Eléments de réponse.
Maîtrise des coûts : une culture plus qu’une simple technique d’achats
lundi, 05 mars 2012 00:00 Écrit par Nos contributeurs« Tous les coûts sont dans la facture »1 . Les achats de biens et services représentent en moyenne 60 % du chiffre d'affaires des entreprises européennes (source Eurostat). La maîtrise de leurs coûts est une condition de leur performance économique. Les directions générales et financières, logiquement motivées par le sujet, continuent de mettre la pression sur les acheteurs. Mais jusqu’où faut-il aller dans cette logique avant de tomber dans la caricature de la réduction des coûts, voire du « cost killing » dont tout le monde connaît aujourd'hui les limites. Comment surfer, s’il existe, sur un optimum ? Selon les orientations culturelles de l’organisation, on observe deux approches bien distinctes : la gestion militaire ou la gestion écologique des ressources.