Finance & Gestion 416
Quand la banque devient un véritable partenaire financier pour l’entreprise, ce choix peut être déterminant pour le développement de l’entreprise. Mais au fait, êtes-vous certain d’avoir fait le bon choix ?
Dirigeant, votre banque est votre principal partenaire financier : elle vous permet de vous développer tout en limitant votre investissement personnel et en conservant au maximum le contrôle de votre entreprise. Le choix d’une banque est donc fondamental afin que votre entreprise soit pérenne. Mais comment choisir cette banque ? Dans quelle mesure peut-elle vous aider à vous développer à l’international ? Peut-il y avoir une synergie des compétences avec les métiers de l’assurance ? Quels sont les avantages de la banque par Internet pour les entreprises ? Enfin, votre banque commerciale peut-elle vous accompagner dans la gestion de votre patrimoine privé. Telles sont les questions auxquelles GPO tentera d’apporter une réponse.
Si nous ne pouvons énumérer ici tous les moyens concourant à une trésorerie saine, il est des grandes lignes qui permettent d'en identifier l'essentiel. Toutes les méthodes n'étant pas issues de l'univers strictement comptable, le champ est vaste. Tour d'horizon.
Tous les professionnels et les spécialistes le savent : la trésorerie moyenne établie sur le cycle complet d'activité (lissage de l'éventuelle saisonnalité) d'une entreprise reflète sa santé globale. Lorsqu'il constate une trésorerie chroniquement tendue voire systématiquement négative, le banquier est vite inquiet et alerté sur la réalité de la situation de l'entreprise de son client.
Les origines du problème sont soit structurelles, soit conjoncturelles, soit les deux à la fois.
Au plan structurel (outre une activité chroniquement déficitaire générant un cash flow négatif), l'erreur la plus souvent commise (notamment dans les PME et les TPE) est un déséquilibre de la structure générale de la dette globale, qui voit l'entreprise financer des besoins moyen et long terme par des dettes court terme, toujours beaucoup plus onéreuses.
Entreprises en difficulté : cap sur la prévention
lundi, 02 novembre 2009 00:00 Écrit par Linda Ducret
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En ces temps de crise économique, l’adage «Mieux vaut prévenir que guérir» est particulièrement bien adapté. Lorsque les difficultés arrivent, il est déjà trop tard pour réagir. Alors, pour ne pas subir l’hémorragie des ressources consécutives à un dépôt de bilan. Surtout n’hésitez pas, cap sur la prévention !
Une nouvelle « Culture économique »
ul doute, il s’agit là d’une nouvelle donne, faite d’anticipation et de détection à temps des difficultés. Et tous les acteurs de la prévention (expert-comptable, avocat, banquier….) ont désormais pris le parti de diffuser cette culture auprès des dirigeants d’entreprise.
En effet, combien de chefs d’entreprises subissent les difficultés, se replient sur eux-mêmes en attendant des jours meilleurs ! Or, prévenir les difficultés, c’est le meilleur moyen de les surmonter. Bien entendu, la prévention doit être de mise pour l’entreprise elle-même. Mais la sauvegarde de l’entreprise est également un enjeu majeur pour l’économie. Car, c'est le maintien de l'activité économique et des emplois qui est en jeu. Comment mettre en place des solutions afin d’anticiper ? Quels sont les enjeux juridiques, fiscaux et sociaux d’une restructuration ? Quel est l’apport de la loi de sauvegarde du 26 juillet 2005 en matière de prévention ? Quelles sont les principales mesures issues de son entrée en application au mois de janvier 2006 ? Comment organiser la reprise d’une entreprise défaillante ? Telles sont quelques-unes des questions auxquelles GPO tentera d’apporter une réponse.
De la carte SIM à la carte de paiement en passant par la carte d’identité ou encore la carte de fidélité, les usages liés à la carte ne changent pas. Ce qui évolue, en revanche, ce sont les technologies associées à chacun de ces usages et qui contribuent à la pérennité et à l’augmentation du volume des cartes. Un marché en devenir qui a su se faire une place notamment au milieu de la diversité des supports marketing.
Près de 7 milliards de cartes à puce circulent de par le monde… Cette industrie, loin de s’essouffler, profite de l’évolution des modes de vie, faisant peu état de la crise actuelle. Crise ou non, chacun continue d’utiliser son téléphone portable, sa carte de paiement ou encore sa carte d’identité. D’ailleurs, non seulement le marché de la carte résiste à la conjoncture économique, mais en plus, il laisse encore présager un fort potentiel de développement. Le marché de la carte SIM, dont la croissance pourrait atteindre 12.5 % en 2009 (Prévision Eurosmart 2009) se révèle très peu dépendant de celui des téléphones mobiles qui pour sa part devrait baisser de 8 % en volume (Etude d’Infonetics Research, 2009).
Le marché de la carte SIM reste en effet lié au nombre d’abonnés au GSM. Ce sont ainsi entre 2.3 et 2.5 milliards de cartes SIM qui ont été livrées pour répondre à une demande induite (renouvellement ou changement d’opérateur) par un effet de «parc installé», et donc indépendant des ventes de mobiles et des nouveaux abonnements.
Le marché de la carte de paiement paraît également assez armé contre les mouvements qui affectent déjà les comportements d’achats des consommateurs. Avec un taux de progression de 14.8 % en volume (Eurosmart 2009), la carte bancaire reste l’un des moyens privilégiés pour les banques de détail, de fidéliser et de gagner de nouveaux clients. La croissance de ce secteur reste globalement tirée par la demande dans les domaines de la sécurité et de la migration EMV (Europay MasterCard Visa).
Gagner un temps précieux dans la gestion du flux courrier
lundi, 02 novembre 2009 00:00 Écrit par La rédaction
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Quotidiennement dans l’entreprise, des collaborateurs occupent un temps précieux à des tâches qui les éloignent de leur cœur de métier. La gestion du courrier fait partie de ces activités essentielles bien que terriblement chronophages. Question récurrente pour un bon chef d’entreprise : comment gagner du temps et réaliser des économies substantielles ?
Les solutions existent pourtant, et ce, à tous les maillons de la chaîne courrier ; elles se multiplient même ces dernières années et gagnent en efficacité grâce à l’évolution technologique. Mais également grâce aux réflexions en amont des fabricants.
Accélérer la distribution du courrier
Dès réception, les systèmes d’ouverture automatique permettent désormais d’accélérer le flux interne de l’information, et de gagner ainsi un temps précieux sur le traitement manuel ainsi qu’une plus grande réactivité des équipes. Certains fabricants ont opté pour des gammes de produits multiples au savoir-faire spécifique. Ainsi Satas avec ses ouvre-lettres-extracteurs qui vont de l’OL 50 destinés au traitement des enveloppes renforcées et épaisses (30 enveloppes/ minutes) à l’OLF 45 dont la vitesse d’ouverture est la plus élevée du marché (750 plis/mn) pour des services à gros volumes. Tandis que des solutions comme Sesam 1 de Neopost France capitalisent sur la polyvalence en acceptant tous les formats gèrent jusqu’à 300 enveloppes à la minute. Le tout sans entretien du produit grâce à un couteau auto-affûtant. S’ajoute à cela pour un bon nombre de solutions la prise en compte environnementale : une incision sur un côté seulement pour éviter le déchet de papier.
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De plus en plus d'annonceurs demandent à leur agence événementielle non seulement de leur concevoir des opérations originales, mais aussi de prendre en compte la dimension écologique. Une tendance dans l'air du temps qui ne peut que s'amplifier.
Avec une progression d'activité de 8 % des 67 adhérents de l'ANAé(1), l'année 2008 a été jugée satisfaisante par les professionnels de l'événement ; et ce, malgré l'érosion significative de leur taux de marge. Pour 2009, conséquence directe de la crise, l'association prévoit une baisse sensible du marché, sans pour autant être spécialement inquiète sur l'activité de ses membres.
Si le salon IFTM Top Résa traite en partie l'univers du tourisme d'affaires (notamment via ses indissociables grands opérateurs que sont compagnies aériennes, chaînes hôtelières et sites d'accueil), c'est indéniablement le salon Heavent (voir encadré) qui est le plus représentatif des tendances de ce marché aux contours désormais bien établis. Il n'est pas inutile de rappeler que cette reconnaissance n'est pas si ancienne que cela. La question identitaire de cette profession a par exemple fait l'objet d'un Avis et Rapport du très vénérable CESE(2) en 2007, les pouvoirs publics et le Ministère du Tourisme distinguant quatre domaines : les foires / salons, les congrès / conventions d'entreprises, les opérations de motivation (incentive) et enfin, les voyages d'affaires individuels. Pour ces derniers, les entreprises ont depuis longtemps intégré des outils d'aide à la décision qui permettent d'acheter mieux avec une trace écologique réduite au maximum. Le phénomène est plus récent sur l'événementiel.
Energie : le pas environnemental facile à franchir
lundi, 02 novembre 2009 00:00 Écrit par Philippe Dermagne
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Pour de nombreuses PME ou TPE, l'une des grandes difficultés est souvent de savoir sous quel angle et comment entamer une première démarche allant dans le sens du développement durable. L'énergie est sans conteste un domaine où toute optimisation se traduit rapidement par une baisse des charges d'exploitation. Contexte et panorama des économies faciles et bonnes pour la planète.
Un contexte d'évidences économiques pour la création de valeur
S'il est une source inépuisable d'énergie, par définition renouvelable, c'est bien celle d'une meilleure gestion des ressources disponibles ; une évidence parfois négligée mais qui pourtant est l'ossature de toute politique énergétique. Cet axiome est d'autant plus remarquable que tout dirigeant comprend immédiatement que réduire la consommation d'énergie c'est à la fois, protéger l'environnement et améliorer le rendement de l'entreprise.
Faire des économies d'énergie offre aussi des avantages sur le terrain humain et social. Réduire la consommation d'énergie est la conséquence directe d'actions tangibles et perceptibles par chacun, à l'efficacité visible quasi immédiate, sur fonds de satisfaction personnelle et collective.
Dans l'univers du développement durable, les économies d'énergie sont assurément un domaine où les dirigeants et l'ensemble du personnel rentrent tout naturellement dans le cercle vertueux de la RSE(1); sans s'en rendre vraiment compte ou presque !
Tous les experts et spécialistes s'accordent à dire que la compétitivité de l'entreprise passera de plus en plus par le respect d'une éthique environnementale, au risque de voir s'étioler son portefeuille clients et de réduire la fidélité et la motivation de son personnel, deux leviers majeurs de toute création de valeur. «La création de valeur passe d'abord par la maîtrise des risques», écrit Philippe Laget(2), membre du Conseil National du Développement Durable.
Energie : le pas environnemental facile à franchir
lundi, 02 novembre 2009 00:00 Écrit par Philippe Dermagne
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Pour de nombreuses PME ou TPE, l'une des grandes difficultés est souvent de savoir sous quel angle et comment entamer une première démarche allant dans le sens du développement durable. L'énergie est sans conteste un domaine où toute optimisation se traduit rapidement par une baisse des charges d'exploitation. Contexte et panorama des économies faciles et bonnes pour la planète.
Un contexte d'évidences économiques pour la création de valeur
S'il est une source inépuisable d'énergie, par définition renouvelable, c'est bien celle d'une meilleure gestion des ressources disponibles ; une évidence parfois négligée mais qui pourtant est l'ossature de toute politique énergétique. Cet axiome est d'autant plus remarquable que tout dirigeant comprend immédiatement que réduire la consommation d'énergie c'est à la fois, protéger l'environnement et améliorer le rendement de l'entreprise.
Faire des économies d'énergie offre aussi des avantages sur le terrain humain et social. Réduire la consommation d'énergie est la conséquence directe d'actions tangibles et perceptibles par chacun, à l'efficacité visible quasi immédiate, sur fonds de satisfaction personnelle et collective.
Dans l'univers du développement durable, les économies d'énergie sont assurément un domaine où les dirigeants et l'ensemble du personnel rentrent tout naturellement dans le cercle vertueux de la RSE(1); sans s'en rendre vraiment compte ou presque !
Tous les experts et spécialistes s'accordent à dire que la compétitivité de l'entreprise passera de plus en plus par le respect d'une éthique environnementale, au risque de voir s'étioler son portefeuille clients et de réduire la fidélité et la motivation de son personnel, deux leviers majeurs de toute création de valeur. «La création de valeur passe d'abord par la maîtrise des risques», écrit Philippe Laget(2), membre du Conseil National du Développement Durable.
Service courrier : Un pôle d’économies à ne pas négliger
mercredi, 02 septembre 2009 00:00 Écrit par La rédaction
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Parent pauvre dans les investissements de l’entreprise, le service courrier représente pourtant un gisement de réduction de coûts important. Face à un marché postal en pleine évolution et à un contexte économique sensible, les entreprises ont besoin de conseils en la matière. Une analyse pointue permettra de réorganiser de façon optimale l’activité courrier avec des résultats rapides à la clef.
Lors d’un déménagement, d’une fusion ou d’une réorganisation, comment aménager le service courrier de façon optimum ? De quelle manière mieux maîtriser les coûts d'affranchissement par service ? Comment gagner en réactivité, éviter l’absentéisme et améliorer le quotidien des collaborateurs qui travaillent en salle courrier ? Autant de questions qui dirigent l’entreprise vers un diagnostic sur le fonctionnement de son service courrier.
Les grands acteurs du marché ont tous développé une entité conseil visant à apporter leur savoir faire aux entreprises. Satas a ainsi créé en 1996 son département Conseil. «Notre mission consiste à faire un diagnostic technique et opérationnel des activités documentaires de l’entreprise avec selon les besoins une analyse financière pour mettre en évidence les dysfonctionnements et optimiser au final l’organisation, la structure et la gestion des flux documentaires», explique Myriam Asselin-Louis, Chef de produit et marketing Satas.
IFTM Top Résa, chronique d’un salon à succès
mercredi, 02 septembre 2009 00:00 Écrit par Anne Del PozoAprès un bilan 2008 très positif, IFTM Top Résa 2009 s’annonce également comme un bon cru au regard notamment de son nombre d’exposants et des thématiques qui y seront abordées.
Pour sa première édition en 2008, le salon IFTM Top Résa enregistrait déjà une belle performance. Héritier du salon Top Résa qui se déroulait traditionnellement et depuis 29 ans à Deauville, IFTM Top Résa 2008 s’est pour sa part offert le luxe de se tenir à Paris Porte de Versailles. A l’occasion de ses 30 printemps, le salon est ainsi devenu un rendez-vous incontournable dans le milieu du tourisme, élargi à l’ensemble des acteurs de la profession de la distribution loisir jusqu’au voyage et au tourisme d’affaires, en passant par le tourisme de groupe, la production, le réceptif ou encore la destination France. «Désormais, tous les acteurs du tourisme professionnel se retrouvent sur cet événement pour échanger et s’informer sur l’impressionnant panel de destinations présentes, sur les nouveaux produits des exposants et sur les dernières solutions technologiques du secteur», précise Vincent Lhoste, Directeur du Salon IFTM Top Résa et Directeur de la division Tourisme chez Reed Exposition France. «Une évolution qui a remporté une adhésion très forte tant de la part des exposants, qui ont désormais un salon à Paris, leur permettant de rencontrer simultanément l’ensemble de leurs cibles B2B, que l’ensemble des visiteurs qui se sont déplacés en nombre».